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aquet cop si que es la Roma

Publié le par jo

aquet cop si que es la Roma

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Des vues de 1930

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le Tech détourné en 1960
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A la font minérale

Publié le par jo

A la font minerale l'aîgua sempre i regala, en podeu beure una semal sense que may vos faci mal, aïe quine aigüa tan bona que la font vos en dona, no hi ya pas de millor que la font del Volo
A la font minerale l'aîgua sempre i regala, en podeu beure una semal sense que may vos faci mal, aïe quine aigüa tan bona que la font vos en dona, no hi ya pas de millor que la font del Volo

A la font minerale l'aîgua sempre i regala, en podeu beure una semal sense que may vos faci mal, aïe quine aigüa tan bona que la font vos en dona, no hi ya pas de millor que la font del Volo

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Des nouvelles du village. (traduit et répertorié par Marie Claude Serra.)

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CELLERAS (celliers) 1143.

d'aprés le livre d'Aymat Catafau

LES CELLERES ET LA NAISSANCE DU VILLAGE EN ROUSSILLON

 

Presses universitaires de Perpignan

 

 

1143 La cellera est nettement en place au XIIème siècle.

En 1307, deux hommes reçoivent du Roi, l’autorisation d’agrandir leur ouvroir en construisant une portalera (un porche) sur la rue et sur le pont par lesquels on accède à la cellera du Boulou (entre la maison du Dr Bousquet et l’ancienne école maternelle, y aurait-il eu un pont levis, sur le ravin de Ragareil ?).

L’ouvroir est situé à l’extérieur de la cellera ; il touche d’un côté au fossé de la cellera et de l’autre, au pont (à l’emplacement de l’ancienne mairie ?).

En 1352, un cordonnier du Boulou vend un hospicium (hospice, hôpital ?) sur un juta plateum (quartier plat ?) où se trouve une fontaine « Ma Reja » et la place (le plateau après les murs des remparts autour de la cellera).

La cellera, le barri et autres quartiers ainsi que la place, ont été cités à de nombreuses reprises dans le « Capbreu » (le plan royal) de 1364/65.

Dans la cellera, on trouve des maisons appartenant à des habitants qui ont aussi des vignes et une autre maison dans le barri et le quartier de la Colomina.

2 maisons détruites sont attenantes à la cellera et sont tout près du fossé. A l’intérieur de la cellera, les maisons touchent à une carrerou (ruelle) et une rue (celle de l’Eglise ?).

On mentionne la rue du Four où se trouve le four du Roi, les celliers ayant tous été transformés en maisons.

En 1375, un pareur de Perpignan, originaire du Boulou, vend à un meunier de Nidolères, une maison à l’intérieur de la cellera avoisinant avec les propriétés de 4 autres habitants du Boulou. Un habitant du Boulou, obtient du procureur royal, la concession d’un ruisseau situé près de la cellera et d’une fontaine (la fontaine Llauze ?) et du portale d’en moli ; il arrosera son verger voisin (actuel boulodrome ?).

En 1427, le Roi exige de Raymond de Ribas, habitant du Boulou, qu’il lui restitue la clef de la porte de la cellera.

Au XIVème siècle, la cellera a pris le nom de forsa. La cellera est entourée d’un fossé, probablement de murs au XVème siècle ; une porte en ferme l’accès. Est apparu un quartier nouveau, de l’autre côté, près du four royal. Les moulins sont groupés près d’un ruisseau.

 

D'aprés les recherches de Joan Peytavi-Dexone tirées du manuel notarial de

Fransico Vilar notaire de Céret et du Boulou

1er Décembre1601 Barcelona.

Décret Royal par lequel le roi Felipe III de Castille et d’Aragon, Comte de Barcelone, concède à la ville du Boulou, le droit d’élire les consuls, les conseillers et les autres charges municipales par vote (tirage au sort).

La ville du Boulou dans le comté du Roussillon, est une des rares villes royales où se tiennent les célébrations des « corts ». C’est une ville antique qui a subi les calamités des anciennes guerres destructrices et ruineuses ; les habitants se sont efforcés de maintenir et soutenir l’autorité de la couronne royale de sa Majesté. Il convient donc que les consuls lors des réunions du Conseil pour la célébration des offices divins, portent les insignes : une bande rouge avec par-dessus, une llobra noire comme le font déjà Salses, Collioure, Argelès, Thuir, Vinça, Prades et Villefranche.

Année 1650 à 1652

9 mai 1650 vente au Boulou d’une maison de M. Ramon Olibé de Canet à M. Juan Marcé, cloutier au Boulou, rue du Four, à côté de celle de M. Llaurens Vergès à l’est, celle de M. Joseph Tixador y Llosa au sud, du jardin à l’ouest, de M. Pierre Bosc et au nord, des moulins à huile du Roi.

20 mai 1650 testament d’Antoine Lluc : veut être enterré au cimetière du Boulou (autour de l’Eglise ?) et laisse 200 ducats à chacun de ses fils Joseph et Jacques et de ses filles Maria Garriga et Rosa Bonet (noms de mariées), le restant à sa femme, Angela Lluc.

1er septembre 1651 testament de Pierre Pujol, paysan du mas de la Trompeta à Montesquieu des Albères. Demande à être enterré au Boulou où sont tous les membres de sa famille. «  Donne pleins pouvoirs à mon frère Antoine Pujol, paysan à Vivès, laisse à ma femme, Anna Pujol, une vigne au pla de l’arca ainsi qu’une maison et un paller a la forsa (dans les remparts de Montesquieu) et à mes 3 fils, Antoine, Joseph et François et à ma fille Thérèse, un jardin al salita devant la barca ».

12 novembre 1651 Francisco Tell est gardien d’une porte porter de la vila del Volo.

7 décembre 1651 vente d’un terrain au maire du Boulou, Jean Tixador y Llosa, près du Tech et du cami real (qui va de Perpignan à Barcelone), al gorc d’en Bayro au Boulou par Pierre et André Pujol, père et fils.

9 février 1652 Pierre Pujol du mas de la Trompeta à Montesquieu, vend 15 mesures de blé à la veuve Antoinette des Angles (qui compte plusieurs mariages et veuvages).

28 août 1652 date des 1ers actes pris pour arrêter la diffusion de la peste au Boulou. 2 sinistrés du Boulou : Francisco Serra et Bernard Candi et 2 de villages alentours : Francisco Resta (le Perthus) et Tadeu Bages (Maureillas).

Année 1653 à 1654

8 septembre 1653 Guillem Robisco (ou Robixo) est gardien d’une porte porter de la vila del Volo.

En 1653 est fait mention d’un hôpital au Boulou dont les dimensions étaient modestes, devant son existence à son emplacement géographique (axe important). D’après les actes de vente, il se trouvait à la sortie du Boulou passant devant la Chapelle St-Antoine rejoignant le passage de la barca de Tech (actuel emplacement de l’école primaire rue Jules Ferry, la grange Mathias Horeau et ses jardins, de la rue de l’évolution sociale (regarall), de la rue du 4 septembre, de l’impasse de l’évolution sociale, et l’ancienne carrer den gitano, actuelle impasse des écoles).

30 mars 1654 Jacques dels Angles-Farussa, Jacques Resta, Jean-Pierre Marti, manœuvres et Sébastien Moy, agriculteur, doivent la somme de 39 monettes pour les travaux entrepris dans la maison dite de Cartalla (du château à côté).

16 avril 1654 payé à François Moli, maçon, par Sébastien Moy, paysan, 440 livres pour les travaux à la maison de Cabrerain de Cartalla qu’il loue.

27 avril 1654 location pour un an du four à pain du Boulou à Joseph dels Angles-Farussa, paysan du Boulou, pour la somme de 42 doubles d’or ; le contrat est sous le contrôle de M. Bernard Candi (ou Candy) et de M. Joseph Manguina, négociant. Le règlement de la location sera renouvelé tous les 4 mois. Tous les habitants du Boulou devront cuire leur pain dans ce four et nul autre endroit sous peine de devoir payer 3 livres d’amende (monnaie du Roussillon). Tout pain cuit dans ce four devra mesurer 25 pans comme c’est l’accoutumée. Devra être surveillée l’arrivée des fagots (100 à 150, prêts  à être utilisés) ainsi que la cuisson des pains. Si ces derniers sont trop cuits, il faudra rendre des comptes aux honorables consuls et négociants de la ville. Surveiller aussi la personne qui retire le pain du four avec la pelle.

Année 1679

27 mars 1679 inventaire des biens de M. Francisco Vilar, notaire au Boulou et Céret : une maison à Céret vers le cimetière, près de l’Eglise et de la muralla, un jardin près des Capucins qui sert de chemin allant de l’hôpital neuf à Castellars, 4 autres jardins, 8 champs, 2 graviers (pour la construction, au bord du ruisseau et du Tech), 3 oliveraies, 8 vignes, 1 mas et ses arbres à Ruinoguès et l’argent du loyer de 9 maisons à Céret, 1 maison principale au Boulou au lieu-dit « la Place » avec une cour devant et une derrière touchant la maison voisine de M. Antoine Cucurell. La cour et le jardin mènent à la Chapelle St-Antoine ; entre ces espaces, un arc en pierre travaillée. (La cour de M. Vilar achetée par M. Resta, paysan et maire de Nidolères). La propriété côtoie le cimetière majeur (Chapelle St-Antoine). M. Vilar possède une autre maison au Boulou, près de la muraille autour de l’église Ste Marie, 1 terrain contigu à la tour près du chemin qui va de l’église au lieu-dit la forsa traversant les cours à côté des maisons de M. Jean Tarrissa, Antoine Garrich, François Neus, 1 jardin et une grange (pour le fourrage) situés dans la muraille de la ville près des jardins de l’hôpital, un autre jardin plus petit tout près du précédent, 1 champ dit du Noyer, situé à las ortas de la ville près d’un champ appartenant à M. Tixador près du ruisseau du moulin, 31 champs aux alentours du Boulou avec chênes et oliviers au mas Fabra (Valmagne).

Lors de la démolition de la maison de M. Vilar sur l’actuelle place rose, les ouvriers de M. Olivèda ont trouvé l’emplacement du four royal (enterré sous les décombres de la maison Vilar), près de la statue du petit tambour.

 

 

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Avant le grand bouleversement

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J Daniel Bezsonoff Montalat

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Abans que els catalanistes de la trista figura els acomplexessin, els catalans del Nord tenien l’orgull de la llengua pròpia. L’anomenaven català. Segons ells, els altres catalans parlaven el català espanyol. (sic) Pel que fa als castellanoparlants que procedien generalment de Múrcia i d’Andalusia, en deien uniformement « espanyols del fonso d’Espanya. » A força de sentir a parlar de rossellonès i de dialecte, els darrers catalans del Septentrió han acabat creient que s’expressen en un català infame i indigent.
Sovint la gent d’altres terres catalanes ens retreuen amb raó els nostres gaŀlicismes que gairebé sempre corresponen a un castellanisme a l’altra banda. Tan difícil és comprendre que, d’ençà del tractat dels Pirineus, el nord s’ha afrancesat i el sud castellanitzat ?
En quaranta anys el vocabulari de l’alemany de la RFA i de la RDA s’han anat separant. Hi va haver una edició de l’est i una altra de l’oest del famós diccionari Duden. El coreà ha conegut una separació més greu amb diferències notables a nivell de pronúncia, gramàtica i lèxic. El català se n’ha sortit millor.
Sovint el parlar del Rosselló conserva paraules desconegudes o oblidades a la resta de Catalunya com restar, cercar, quelcom, cambra, llur, batlle. Molts sudistes diuen que les hem mantingut per influència del francès. En canvi, quedar, buscar, habitació o alcade no tindrien res a veure amb el castellà.
Pareu si’s plau…
La superioritat que tenen els catalans centrals és la demografia i sobretot la fidelitat lingüística. Llur parlar ha patit tantes interferències com el nostre, però la gent l’empra cada dia, el transmet, l’iŀlustra.
Ja he explicat que solia portar els meus amics del Principat i del País Valencià a casa de mon oncle Claude perquè sentissin el seu català immaculat, transmès de pares a fills de mil anys ençà.
Sovint uns francesos de bona voluntat (n’hi ha…) que voldrien dominar la nostra llengua em demanen si hi ha moltes diferències entre el català de cada banda. Sempre els responc que sí, precisant que són divergències sense importància. Cal tenir les orelles en mal estat per no capir « A la tardú pensi que fa pas tanta calú com a l’istiu al Canigú. »
Els catalans rai. Tenim una llengua amb poques variacions dialectals contràriament als bascos, bretons, flamencs i occitans.
No oblidem les lliçons del mestre Fabra :
Cadascuna de les grans regions de llengua catalana « té els seus clàssics dins la nostra gran literatura medieval: que cadascuna els prengui per models per depurar i redreçar la seva varietat dialectal; i això sols faria que, sense sortir-nos els uns i els altres del nostre català, ens trobaríem escrivint modalitats no pas molt diferents d’una sola llengua literària. »

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Une époque où les diplômes avaient une valeur

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Valeur intrinsèque et valeur humaine de travail et sacrifices parfois pour les parents et pour certains cela marquait aussi la fin du privilège d'accès à l'instruction aussi la fin

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hostellerie catalane

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une photo postée sur FB par joany. On y voit le père Sotoca debout devant la porte et peut-être bien Gino assis sur une table

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LE PELICAN 64 S'ECRASE DANS LES ALBERES

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Le Boulou avant le tourisme de masse

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