Overblog
Editer la page Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)

0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)

http://aphpo.fr/index.html

L’essor industriel de la bouchonnerie (1870-1918)


A l’instar d’autres industries - papier à cigarettes ou textile - l’essor industriel reprend et se poursuit donc après de la guerre de 1870. Selon Jean Tosti, en 1876, les archives de l’enregistrement du canton de Thuir relèvent 20 bouchonniers à Llauro et 12 à Fourques, chiffres minima en raison de l’approximation des dénombrements. C’est à cette époque que sont fondées deux entreprises appelées à un fort développement, à savoir la manufacture de bouchons Torrent, créée au Boulou en 1874 et la maison Joseph Trescases, fondée à Céret en 1876 . Rapidement, les sociétés bouchonnières augmentent à la fois la durée légale de leur existence et le volume de leurs capitaux. En 1890 par exemple, le capital de la maison Torrent est porté de 115 000 francs à 128 390 francs. Son fonds de réserve est porté de 5 à 10% à prélever sur les bénéfices.

Après 1870, les raisons de cet essor de l’industrie bouchonnière sont doubles, et tiennent d’abord à une extension de la superficie des suberaies. Lié à la crise phylloxérique en effet, le recul de la vigne en zone de montagne s’est fait au profit de la culture du chêne-liège, comme en témoigne cette annonce de 1892 : « à vendre à Oms, une pièce de terre autrefois vigne aujourd’hui chênes-lièges au lieudit Tachou ». Le Roussillon connaît donc une extension de sa superficie en chênes lièges, contrairement à la lente décroissance française de ce domaine . Au terme de la crise phylloxérique, l’essor de la bouchonnerie est ensuite lié au bond en avant de la viticulture locale, et notamment de la viticulture industrielle, telle que la représente notoirement la société des caves Byrrh.

Toutefois, le bouchon à vin, voire le bouchon à champagne, ne constituent pas une production monolithique. En 1895 est par exemple fondée au Boulou, une société en nom collectif ayant pour but « la production et la consommation des bouchons de pharmacie, de droguerie et des bouchons de toute nature ». La société, au capital de 4000 francs, est créée pour une durée de 20 ans . De fait, dans les massifs pyrénéens, le couvert végétal et la flore endogène contribuent traditionnellement à l’essor de l’activité pharmaceutique . En conséquence, l’industrie bouchonnière concerne non seulement à la production viticole mais aussi à la production médicinale d’origine locale, d’excellente réputation. Jean Tosti a recueilli à ce sujet le témoignage d’un bouchonnier local : « on mettait les planches fines de côté pour faire des petits bouchons de flacons de pharmacie, des rondelles, des semelles d’un seul bloc. Il y avait ensuite l’épaisseur normale, qui allait servir à faire le bouchon normal. Enfin le liège épais dont on faisait les bondes, et éventuellement les bouchons de champagne ».

Dans une moindre mesure, la bouchonnerie sert également aux activités de droguerie. Selon toute probabilité, les larges bouchons de liège servent par exemple au conditionnement des acides de l’usine de dynamite de Paulilles, près de Port-Vendres, dont les ateliers spécifiques sont fondés vers 1875-1880. En tout état de cause, en fin de siècle, l’industrialisation de la région est patente et imprègne les mentalités : en 1894 un café situé sur la place du village de Maureillas porte l’enseigne du « Café de l’Industrie ».

Entreprise de bouchons Horeau, Le Boulou : production pour vins, limonades, poudriers, robinets, tubes et conserves.
Non datée (Col. E. Praca)

Les sociétés coopératives

Dans son ensemble, cette industrie s’appuie sur un savoir-faire ouvrier important. L’une des spécificités de l’industrie du liège des Pyrénées-Orientales est alors d’accorder une valeur supplémentaire à ce savoir-faire technique, et de traduire cette valeur en termes participatifs. Par exemple, la société Torrent fondée au Boulou en 1874 apparaît en 1887 comme une société coopérative à capital variable où les ouvriers et employés sont actionnaires. Parmi les cinq membres de son conseil de surveillance, « il y aura toujours deux ouvriers » . De la même manière, la société de production de bouchons de pharmacie, qui porte le nom de ses fondateurs, s’intitule également « Union ouvrière des bouchons du Boulou ». L’industrie du bouchon à liège se caractérise donc par une participation précoce de la classe ouvrière à la gestion de l’outil de production. Plus généralement, cette démarche traduit selon J.-M. Olivier, « un certain idéal républicain » qui, dans le sud de la France « imprègne les esprits » et s’inscrit dans le fil de la « défense d’une république sociale protectrice des petits ».

Comme en d’autres secteurs d’activité, le syndicalisme ouvrier semble toutefois se structurer au début du XXe siècle. En février 1906 est ainsi créée la Chambre syndicale des ouvriers du liège de Céret : la défense des salaires y occupe une place essentielle « de façon à ce qu’il représente la valeur réelle du travail accompli 14». A cette conscience syndicale s’ajoute une conscience politique patente en particulier durant la première Guerre mondiale : une récente étude exposée au CRHiSM de l’université de Perpignan indique que parmi les antimilitaristes et déserteurs figurent de nombreux ouvriers bouchonniers de cette région frontalière.

Au début du XXe siècle, la bouchonnerie constitue donc la principale industrie de transformation du liège. Outre cette utilisation principale, il existe de nombreuses industries annexes donnant des débouchés au liège, et tenant aux habitudes de consommation. La passementerie, la chapellerie utilisent le liège, surtout employé dans les montures de casques coloniaux, dont la fabrication est liée à la proximité du trafic portuaire port-vendrais à destination de l’Algérie. Enfin la pêche locale utilise toutes sortes de formes de lièges de qualité inférieure, carrés, rondelles ou boules, soutenant lignes et filets.

Maxime de la Société des bouchons Torrent au Boulou : « Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’il te soit fait.
Fais à autrui ce que tu voudrais qu’il te fût fait », 1890 (Col. ADPO, 3U591)

Dès la fin du XIXe siècle, certaines sociétés sont donc solidement structurées pour une production spécifique. En 1889 par exemple, la société Torrent investit non seulement dans le bouchon mais aussi dans le négoce du vin. En 1892, elle publie son journal mensuel interne : « Les Bouchons et les Vins ». En 1894, elle crée des succursales à Paris, Levallois et Djidjelli. La guerre de 1914-1918 diminue ensuite le nombre des petites entreprises. Ainsi, sur 12 ateliers existant à Llauro en 1914, 8 perdurent après la guerre, dont un se déplace au Boulou. Ce fléchissement ne grève toutefois pas la vitalité de ce secteur industriel, vitalité qui perdure dans les décennies suivantes.

L’organisation industrielle (1920-1950)

Dans les grands centres industriels locaux, sous l’effet de la concentration des entreprises, s’affirme dans les années 1920, un effort d’organisation patronale : dès 1920 est créé à Céret le « syndicat des fabricants de bouchons des Pyrénées-Orientales » sous-titré « Industrie et commerce ». Le conseil d’administration est composé de personnalités locales : Palau S. de Céret, Torrent et Trescases du Boulou, Sagols-Taulera et Michel Marill de Maureillas, Martin Planes de Llauro. Cette association de défense des intérêts de la fabrication et du commerce a pour second but « d’étudier avec le plus grand soin les questions économiques, mécaniques, douanières et industrielles ; d'être un organe (de pression) auprès du gouvernement et des transporteurs ». Elle se charge aussi à cette époque de fixer un salaire uniforme aux salariés pour l’ensemble de la profession. Le syndicat est affilié à la Fédération des Fabricants de bouchons de France 15.

De même en 1921, se crée à Céret un syndicat sylvicole de défense des chênes lièges, comprenant essentiellement les grands propriétaires de bois. Ce syndicat, tendant à servir d’intermédiaire pour l’achat de produits sylvicoles, est placé sous la présidence d’honneur du sénateur et candidat à la présidence de la République Jules Pams, issu d’une importante lignée de négociants maritimes roussillonnais . Il existe des passerelles entre les deux syndicats, les propriétaires de bois de Llauro et de L’Ecluse étant également assesseurs dans le syndicat des fabricants de bouchons.

Par ailleurs, dès les années 1920, le marché du liège et de ses dérivés est parfaitement organisé. En amont du marché, la société Ré, société anonyme au capital d’un million de francs, a la représentation exclusive pour le Roussillon des lièges de Kabylie, dont l’importation se fait par Port-Vendres. Les balles arrivant par bateaux complets sont entreposées par la société et réparties entre les bouchonniers de la région venus choisir la marchandise . En aval, dès cette époque, s’établit entre industriels un commerce des débris de liège. Selon un artisan du Pont de Céret, l’usinage de 100 kilos de liège servant à la fabrication de bouchons donne en effet 60 à 80 kilos de déchets, provenant du choix initial de la matière, de la fabrication et du triage. Cette masse de rebus est envoyée à la trituration pour la confection de granulés et d’agglomérés de liège. Plusieurs entreprises ou sociétés de Céret ou des environs, dont la société Ré, se spécialisent alors dans cette industrie dérivée. Les rennes de la société Ré sont pour leur part tenus par Pierre Michel Bardou-Job, dernier représentant en ligne directe de la dynastie des industriels du papier à cigarettes de marque Job, confirmant l’emprise de cette dynastie sur l’activité industrielle dans le bassin méditerranéen.

L’essor de l’hydraulique et de l’électrification au cours des années 1920, particulièrement sensible dans les Pyrénées-Orientales, contribue au développement de ce secteur d’activité. Dès les années 1925 par exemple, l’usine Sainte Marguerite à Céret, spécialisée dans la fabrication de tresses pour les livrets de papier à cigarettes Job, fabrique, par extension, des lacets pour espadrilles. L’usine électrique servant à alimenter Sainte-Marguerite, également propriété Bardou-Job, fabrique dans le même temps des granulés et agglomérés de liège généralement utilisés « dans l’isolation des immeubles, des caves, des chambres chaudes, des glacières etc. ». Cette entreprise qui utilise les déchets des bouchonneries de Céret, Le Boulou, Maureillas et Llauro, a une capacité de production de 10 000 kilos par jour. Elle produit également des isolations de liège pour les tuyaux et des boîtes pour isoler la glace mais, de mémoire orale « ce dernier produit n’a pas marché ».

En définitive, la société Ré, terme abrégé de Réalisation d’Etudes d’agglomérés, confirme la diversification de la production s’opérant dans le secteur de l’industrie du liège, mais également l’usage des innovations basées sur la faible conductibilité du liège. En corollaire de la bouchonnerie se développe donc, à partir du broyage du liège, une industrie dérivée dont les productions sont utilisées dans le bâtiment -combles et planchers-, dans l’isolation des installations et entrepôts frigorifiques et dans la construction des wagons et bateaux-glacières .

Au cours de la décennie suivante, la compétitivité des entreprises s’accroît. En bouchonnerie, les anciennes sociétés tendent à se renforcer, telle la société F. Palau et ses fils à Céret, au capital de 780 000 francs, ou encore les Ets Goss, Bassède frères et Cie au Boulou également en 1930, dans lesquels sont introduits des capitaux parisiens. Constituées sous forme de sociétés à responsabilité limitée dans une perspective de réduction des risques, leur durée est toutefois prévue pour vingt ou même cent ans. Malgré la crise des années 1930, c’est dans un contexte d’essor technologique et de forte structuration du marché que débute en 1937 le négoce de bouchons de Modest Sabaté à Port-Vendres.

Au plan technique, la période se caractérise surtout par l’automatisation du travail : ainsi, en 1934, la société Torrent indique que de nouvelles machines lui permettent d’effectuer le travail « de façon automatique ». L’usine occupe 120 ouvriers et produit 400 000 bouchons par jour. Après la Seconde Guerre mondiale, la création au Boulou de l’entreprise Sabaté, à partir de lièges d’Alger fournis par un négociant de Port-Vendres confirme la poursuite de l’essor industriel entamé à la veille des événements.

En résumé, dès les années 1930 « le département des Pyrénées-Orientales figure comme « l’une des meilleures régions bouchonnières de France ». En 1945, 79 entreprises travaillent le liège, principalement le liège désormais en provenance d’Espagne, y occupant un volume de main-d’oeuvre s’élevant à un millier d’ouvriers. Après l’instauration du Marché commun, un décret de 1969 autorise l’importation de produits de liège prêts à l’emploi qui, selon certains auteurs, « ruine l’industrie du liège » dans le département. Cette mesure est à l’origine d’une nouvelle sélection des entreprises les plus performantes, dont la dernière modernisation permet l’accès à un marché d’envergure mondiale, assorti toutefois du corollaire contemporain et social des fermetures et restructurations. En définitive, quel que soit le devenir de ce secteur d’activité, les Pyrénées méditerranéennes demeurent le berceau historique de cette grande industrie internationale.

Conclusion

Au fils du temps, l’Albère a présenté la particularité de concentrer sur un même territoire plusieurs méthodes de conservation, à savoir d’une part les modes de conditionnement alimentaire que sont le verre et la bouchonnerie, d’autre part l’exploitation et la commercialisation de la glace .Dans l’espace méditerranéen qui se prête effectivement à ce type d’expérimentation, cette zone se définit dès lors comme un laboratoire des modes de conservation alimentaire, quoique l’approche plurielle de ces divers secteurs d’activité économique demeure encore un champ d’étude largement ouvert.

Par ailleurs, l’Albère figure également comme un laboratoire social, dont le modèle s’est répandu par capillarité dans l’arrière-pays voisin du Vallespir. Dans un premier temps, bien qu’elle ait laissé place à une industrie de type libéral, la précocité du mouvement coopératif, lié de manière concomitante au développement portuaire port-vendrais et à la diffusion des divers courants de l’économie sociale, constitue en effet l’une des caractéristiques de cette industrie locale, alors étirée de la côte à la sous-préfecture de Céret. Dans l’entre-deux guerres, remontant les pans de la montagne, le relais de ce mouvement coopératif sera pris par la classe ouvrière de la région du haut Vallespir, et expérimenté avec succès par l’industrie textile de l’espadrille.

E. PRACA
Membre associé au CRHISM
de l’université de Perpignan

0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)
0)DOSSIER BOUCHONS - La fabrica de taps: (maison Abel)

0)

Le Boulou à l’heure du bouchon.

 

Voici la liste non exhaustive des Bouchonniers Boulounencqs entre 1940 à 1970 environ, il est à noter qu’à coté des grandes usines du village, beaucoup de particuliers fabriquaient des bouchons dans leur « d’avall » voire récupéraient des bouchons mal triés à la farde pour les revendre aux usines, d’autres emportaient du travail chez eux pour augmenter leur rendement. .

 

Usine TORRENT , rte Nationale centre ville. Joseph Torrent .

Pharmacien communard anticlérical, capable d’après les anciens de donner la journée à ses employés pour qu’ils aillent huer l’ évêque de passage au Boulou. Précurseur dans la création d’une société coopérative au Boulou, en 1872 (1 an après la commune de Paris) où les clients et les employés pouvaient être actionnaires de l’entreprise.

 

Maire de  01/ 1878 à 02/ 1880

Maxime de la Société des bouchons Torrent au Boulou : « Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’il te soit fait. 
Fais à autrui ce que tu voudrais qu’il te fût fait », 1890 (Col. ADPO, 3U591

 

 

TORRENT , en face la gare actuellement « fuel Henri Rolland ».

SABATE en place de l’immeuble du même nom, rue du Vallespir.

GIRONELLE, d’abord en face du laboratoire d’analyse puis place Jean Jaurés.

BLANQUIER, en place du parking du crédit agricole.

MASO, rue de la fontaine llause.

Mme Gaie , rue racine.

BOUSQUET, d’abord, av. J. Santraille en place du garage Monforte puis Av. J. Moulin sur le « terrain Pétain »encore visible.

RONDEL LIEGE, en place de Trescases.

SANCHEZ, d’abord, impasse de l’évolution sociale puis chez Serra.

SERRA, rue de catalogne e place de l’immeuble récent.

BES, rue du pont dans l’impasse (encore en place).

NOGUES, face à la gare en place de l’immeuble.

ROCA, d’abord 3, rue du prof . Calmette puis rue des Pyrénées en face le vétérinaire (encore en place)

RABAT, d’abord, maison Sabaté, rue Pasteur puis rue des rosiers actuellement, Buldu.

DOUTRES, d’abord rue du four puis impasse, rue du pont.

DELFORN MAZZINI (ASPAR), « parcelle Vidalou », rue Vauban.

CERRUTTI,

GOSS,rue du Docteur Roux.

HOREAU, maison Horeau Av général de Gaulle, en face l’auto école.

OLIVE, av.G. Santraille en face de la poste (Tulsa).

ORIOL,  8, 12, rue de la Paix.

LLANSO, à l’angle de la rue Racine et l’av.Santraille.

BERLAN et CAPDEVILLE, rue Lucia puis chez GODAYE

GODAYE, place Jean Jaurés en place de l’épicier.

PRATS, mas Jordi, lotissement Ortaffa au mas blanc.

BUDO, 5 rue Ronsard, maison en contre bas.

DESCOSSY, 11, rue des écoles.

ABEL, d’abord maison Brial puis en lieu et place actuel.

 

Aujourd’hui ne restent plus en activité que Sabaté, Abel et  trescases venu plus tard s'installer au Boulou.

certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com
certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com

certains des documents sont à vendre sur : enchères Delcamp.com